Wombojack

"Life is a wild style".

Il n’y a pas eu de plan. Seulement un besoin constant d’exprimer, de détourner, de reconfigurer les codes. Le graffiti a ouvert la voie : un monde brut, rapide, sans permission. Une urgence s'est imposée — celle de laisser une trace, même quand tout vacille.

Rhinocéros bois brûlé

Le rap devient exutoire. Un flow dense, nerveux, sincère. Puis viennent les machines : pads, samples, beats. Le beatmaking s’invite comme prolongement du souffle. Un jour, le bois appelle. Puis l’abstraction. Puis le code. Puis l’IA.

Gravure voiture sur bois

Ce n’est pas de l’art. C’est de la perception. Une manière de lire les failles, les frictions, les énergies invisibles. Le bois, lorsqu’il est travaillé, révèle sa mémoire. Griffé, brûlé, dessiné, il se met à parler.

peinture psy ardoise

Z.E.R.O. : froid, fractal, digital. La Raffinerie : brut, organique, enraciné. Deux pôles qui ne s’opposent pas mais se répondent. L’un fracture. L’autre recolle.

Visuel chaos Z.E.R.O.

Wombojack naît du monde du jeu vidéo. Mais il ne joue pas. Il infiltre. Il détourne. Il assemble. Il crée des failles. Des ponts. Des zones de friction.

Graffiti Wombo Jack

Ce que tu vois ici, ce n’est pas un portfolio. C’est un flux. Une archive mouvante. Une mémoire partielle. Un corps sans cartographie.

Dessin enfant triste

Bienvenue dans la matière.
Bienvenue dans le wild style.